Les partenaires du projet PEPS développent aussi de nouveaux matériaux plus écologiques pour l’impression 3d. Ces filaments représentent une alternative pouvant avoir un coup réduit, plus respectueuse de l’environnement. L’impression 3D nécessite une importante quantité d’énergie et utilise fréquemment des matériaux pétrosourcés comme l’ABS par exemple, un des matériaux les plus employés lorsqu’il s’agit d’impression 3D par dépôt de filament fondu.
Ces développements récents, dans le cadre de projets Interreg (Composens et Doudou), offrent la possibilité d’imprimer en 3D de façon plus écologique et éco-responsable. Ces filaments naturels ou fabriqués à partir de matériaux recyclés ont été développés pour respecter les contraintes environnementales et proposer des alternatives aux filaments pétrosourcés. En incorporant dans une base polymère, pouvant être biosourcée comme le PLA, des matériaux recyclés ou biosourcés sous forme de fibre ou de poudre, il est possible de créer des filaments incluant un certain pourcentage de matière renouvelable ou biosourcée.